Depuis le panneau d’appel situé place de la mairie, dos à la mairie, descendre à droite en suivant la route. Arrivé à l’intersection (calvaire en bois), partir à gauche direction « Jean Brun » « le Grand Marteau ».

il était la place forte au XIIe siècle. Il fut libéré des Anglais par du Guesclin en 1360. Sa particularité repose sur ses allées de mûriers, plantés vers 1873 pour l’élevage du ver à soie, commerce très florissant à l’époque. C’est maintenant une demeure paisible habitée par la même famille depuis 1810 – 1820. Château privé

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L'église de Gageac, reconstruite au XVIIIe siècle offre extérieurement peu d’intérêt. A l’intérieur, on remarque des lustres de cristal, un autel en bois doré et un tableau de grande allure, copie de Lebrun, représentant Saint Jean à l’île de Pathmos écrivant l’Apocalypse. Le cadre en bois sculpté est un objet d’art précieux.

Deux paroisses, Gageac et Rouillac, forment cette commune depuis le début du XIXe siècle.

L'Histoire de Gageac remonte à une haute Antiquité. Son nom est le dérivé du radical Gau, qui, en sanscrit, implique l’idée d’un terrain boisé, d’une forêt.
Au siècle de Saint Louis (1220) Gageac était le siège d’un archiprêtré de cinquante trois paroisses.

Vous êtes à proximité du lieu-dit Ferriol : « lieu lié à l’exploitation du minerai de fer », ou bien nom de personne