Départ depuis le panneau d'appel situé sur le petit parking à côté de l'ancienne mairie, prendre la route principale qui monte à l'opposé de l'église. Arrivé au carrefour (calvaire), traverser puis 25m plus loin quitter la route en suivant à droite un chemin non revêtu qui borde un lotissement.

Bienvenue à Saint Georges de Blancaneix, village sylvestre situé dans la forêt du Landais à une altitude de 65m. D’une superficie de 1362ha, notre commune compte près de 250 habitants et se caractérise par une population en pleine expansion.
Des traces d’une occupation gallo-romaine laissent penser que le site de St Georges de Blancaneix fut occupé très tôt. La paroisse est citée pour la première fois sous le nom de Sanctus Georgius de Blancanes dans un acte de 1276.

C'est un massif où vous pourrez observer la Buse Variable, mais aussi le circaète Jean-Le-Blanc et, pour les plus chanceux d'entre vous, le très rare Autour des Palombes.

Suivre le balisage jaune

Vous êtes à proximité du lieu-dit La Fargue Basse, de l’occitan farga : « atelier où se travaillent les corps durs », « forge » + situation géographique.

Dès 1276, un acte cite l’église romane de « Sanctus Georgius de Blancanes », Saint-Georges-de-Blancaneix. Elle dépend de l’assemblée religieuse de Saint-Front.

En mars 1724, Reymond Robert est nommé prêtre de Saint-Georges-de-Blancaneix. Il marque la paroisse par une série de travaux sur l’église, entre 1730 et 1741, parmi lesquels la construction d’un presbytère à la place d’un ancien cimetière protestant , d’un vitrail pour le sanctuaire, d’un bénitier, ou encore la fonte de deux cloches.

Ces cloches sont bénies, le 6 septembre 1741, soit à quelques jours de la commémoration du massacre de la Saint-Barthélemy.
L’église de Saint-Georges-de-Blancaneix est rénovée à la fin du XIXe siècle.
Texte : Visite Aquitaine

L’unique carrefour du village de Saint-Georges-de-Blancaneix est agrémenté de cette croix en fer forgé du XIXe siècle.

C’est le forgeron de Laubanie qui la réalise, en répétant le même « motif à volutes de fer plat » pour décorer l’intérieur de chaque branche. L’ensemble donne une grande croix extrêmement travaillée. Le socle en pierre, de petite taille comparativement à la croix, porte une encoche qui abritait vraisemblablement une plaque de marbre gravée, aujourd’hui disparue.
Texte : Visite Aquitaine