Of u nu langs de bastides, door de wijngaarden, midden in het bos van Landais of langs de Dordogne, de Rivier van Hoop gaat; de ongerepte natuur van het Land van Bergerac biedt een grote keuze aan schitterende gebieden om te ontdekken. Lopend, fietsend of te paard, de omgeving speelt met zijn bezoekers, en onthult keer op keer stukjes paradijs op aarde of wandelroutes vol verrassingen. Van een wandeling met het gezin tot sportieve routes, er is voor ieder wat wils! Wandelgidsen verkrijgbaar bij uw VVV kantoor.




































Les Pas de Cyrano à Bergerac
Une jolie promenade au cœur de la ville ! Le parcours est jalonné d'informations afin de tout savoir sur Bergerac : il vous suffit maintenant de marcher dans "Les Pas de Cyrano" !
Informations complémentaires
Cette information vous est fournie par ...
Pays de Bergerac, Vignoble & Bastides
Email : contact@pays-bergerac-tourisme.com
Balisage
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Téléphone filaire : +33 5 53 57 03 11
Quai Cyrano Office de Tourisme de Bergerac - Sud Dordogne
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OPEN STREET MAP

Point de départ

Depuis le Belvédère du quai Salvette sur le port de Bergerac, longer le quai Salvette sur votre gauche, et remonter la rue des Conférences.

Durant des siècles la ville fut centrée sur son port batelier. Le
quai Salvette remplaça en 1838 les cales portuaires médiévales.
L’ouvrage occupe l’emplacement de l’ancien château autour
duquel s’est formé le bourg castral qui fit naître la ville au XIè siècle.
Belvédère sur la Dordogne, répliques archéologiques de gabarres,
Maison des Vins et du Tourisme, échelle des crues de la rivière Dordogne. Possibilité de
pique-nique...

Suivre le balisage "Les Pas de Cyrano"

Prêts à vivre une nouvelle l’expérience à Bergerac ? Direction Quai Cyrano, l'espace vin, tourisme et culture en Pays de Bergerac. Vous serez forcément conquis par ce magnifique espace architectural, mélange de pierres du XVIIe et esthétisme du XXIe !

Elle exportait au 18ème siècle sa production vers Bordeaux et les colonies des Antilles. Sur la Place du Moulin de Piles, découvrez les vestiges du Moulin du même nom, exposition.

Au cœur du bourg castral des origines, se tenait là, jadis, le marché des grains. Pittoresques maisons à pans de bois. Statue de Cyrano de Bergerac, oeuvre du Bergeracois Jean Varoqueau (1977).

En 1385 Ramond de la Rivière reçoit du roi Charles VI un fief situé en vallée de Chevreuse au sud- ouest de Paris, pour avoir contribué à la reprise de Bergerac contre les Anglais.
Il baptisera en toute logique ce domaine du nom de Bergerac. Près de 300 années plus tard, c’est sur ces mêmes terres que Hercule Savinien de Cyrano passe ses années d’enfance. Né en 1619 à Paris, il entame très jeune une brève carrière militaire au sein de la compagnie des Mousquetaires gascons (c’est à ce moment qu’il prend le nom de « de Bergerac »). Puis, sans renoncer à son esprit bretteur et querelleur, il reprend ses études et se fait un nom dans le domaine de la poésie et de la littérature où ses œuvres présentent un côté visionnaire et aussi libertaire. Ses écrits oscillent toujours entre la curiosité intellectuelle et scientifique. Il mourra accidentellement à Paris en 1655.

Temple protestant : façade néo-classique (1870), en
fait et paradoxalement il ls'agit là de l'ancienne église Notre-Dame du Château.
Cloître des Récollets (17ème siècle), qui abrite aujourd’hui Quai Cyrano : Office de Tourisme et Maison des vins de Bergerac et Duras

Maisons médiévales exemplaires de l’architecture bourgeoise du 14ème siècle.


Non ! Le Musée du tabac n’est ni un outil de promotion du tabac,
ni destiné aux seuls fumeurs ! Ses collections; uniques en Europe, évoquent l'histoire d’une plante au destin exceptionnel ; tantôt divine, tantôt maudite, née et utilisée en Amérique il y a plus de 3000 ans avant de conquérir l’Afrique puis le reste du monde. Découvrez dans son auditorium et grâce à l’exposition de pièces rares, ce fait de société universel, l’histoire des usages du tabac et des objets liés à sa consommation.

La Maison Peyrarède, dite château Henri IV, a été bâtie au 17ème pour une riche famille de la bourgeoisie. Ce bel hôtel particulier témoigne du passage de la Renaissance au classicisme.
Le roi Louis XIII y aurait logé, lorsqu’il vint reprendre la ville aux Huguenots, en 1621.
Rue de l’Ancien Pont. Maison du 16ème et du 17ème siècle.

Depuis le Moyen-Age et jusqu'à la fin de l’Ancien Régime, Bergerac était, dans toute la vallée de la Dordogne, la seule ville où le voyageur trouvait un pont pour traverser la grande rivière. En 1783, une crue emporta définitivement le pont des origines. Celui-ci fut remplacé par l’actuel ouvrage de pierres et de briques, construit entre 1822 et 1825.

Culée de l’ancien pont médiéval, belvédère vers la façade fluviale de la ville, site de pique nique et de détente. Depuis le square Marcel Guichard, une rampe permet de descendre au bord de la Dordogne.

Église de la Madeleine, de style néo-classique (1843), fontaine des Saumons, oeuvre du sculpteur Henri Redon célébrant la richesse halieutique de la Dordogne. Café Vedry, l’un des plus vieux de France.

En contre-bas de la place de La Butte, fontaine-lavoir de Fonsivade, site bucolique et point de vue sur le pont.


Durant les guerres de religion, en mai 1577, les plénipotentiaires de la conférence de la « paix de Bergerac » qui prépara l’Edit de Nantes (1598), se réunirent dans la maison de la famille Doublet, contre laquelle est adossée la fontaine de Mazeaux.

Elle accueillait les marchands et tanneurs de peaux, les Pélissiers. Église Saint-Jacques (12ème-19ème siècles), étape pour les pèlerins sur la route de Compostelle ; clocher-mur avec balcon de bois pour sonner les cloches.
Statue de Cyrano de Bergerac, bronze polychrome, signé du sculpteur Mauro Corda. Inauguré en 2005. Ce bronze célèbre tout autant Savinien Cyrano (1619-1655), le poète mousquetaire libertaire auteur du « Voyage dans les États et Empires du Soleil », que l’héroïque et poignant personnage
théâtral qui inspira Edmond Rostand dans son «Cyrano de Bergerac», joué pour la première fois à Paris, en 1897.

Édifié au 18ème siècle pour servir de petit séminaire, l’immeuble abrite Dordonha et le Musée Costi dans ses vastes caves voûtées. Sous les voûtes remarquables du cellier de la Petite mission, sont présentées près de 60 sculptures en bronze ou en plâtre, réalisées entre 1929 et 1973 par Constantin Papachristopoulos (Athènes
1906- Paris 2004), dit Costi. Cet élève de Bourdelle s’inscrit dans le courant des sculpteurs figuratifs de la 1ère moitié du 20ème siècle qui ont revendiqué leur indépendance, aussi bien de l’expressionnisme de Rodin que des modernistes qui révolutionnaient l’art du début du siècle. Sur la pierre chaude des caves se détachent les portraits pleins de sensibilité et des oeuvres à lire comme un hommage au corps féminin.

Achevé en 1865 sur les plans de Paul Abadie, l’édifice compte parmi les réalisations néo-gothiques les plus exemplaires du célèbre architecte. À l’intérieur : deux importants tableaux d’époque Renaissance : « L’adoration des bergers » de Godenzio Ferrari (1484-1550), « L’adoration des Mages » de Licinio Regillo, dit le Pordenone (ant. 1550). Devant l’église, monument aux morts, bronze du sculpteur Gabriel Forestier (1927).

Au n° 39, maison natale du philosophe Maine de Biran (1766 – 1824), façade réédifiée sous la Restauration.

Boulevard ombragé, architecture 19ème et début 20ème siècles, la Maison du Département, à l’emplacement de l’ancienne Chambre de Commerce et d’Industrie de Bergerac, architecture Art Déco (1939).

Grande figure de la méritocratie républicaine, ministre des Travaux Publics de 1917-1920. Ancienne Caisse d’Épargne, Art Déco, architecte R. Lhôtelier (1932).

Parc municipal créé en 1929, à partir de l’achat des Jardins des pépiniéristes Perdoux, horticulteurs bergeracois talentueux qui acclimatèrent le Lageströemia Japonica. Ils participèrent, après la grande crise phylloxérique de 1870-1880, au sauvetage des vieux cépages des vignobles français.

Monument à la gloire des tragédiens bergeracois Paul Mounet (1847-1922) et Mounet-Sully (1841-1916), stèle à la mémoire du poète Jacques le Lorrain (1856-1904).

Conçu sur les plans de l’architecte Paul Abadie et inauguré en 1869, ce collège est représentatif du cadre architectural que l’on estimait au 19ème siècle le plus conforme aux besoins de l’enseignement.

Monument aux morts de la guerre de 1870.
Palais de Justice, architecture néo-classique (1867-1869).

Ce vestige archéologique vient rappeler que Bergerac fut, de 1577 à 1621, l’une des plus puissantes places fortes bastionnées dans le sud-ouest du royaume et tenue par le parti huguenot militarisé.


Quartier commerçant, halle de type « Baltard », exposition, marché animé mercredi et samedi matin. Maison Daix, dite « de Charles IX ».

Centrale électrique des Cinq Canelles : établie à la fin du 19ème siècle, cette usine fournissait le courant à de multiples usagers de la ville jusqu’à sa fermeture en 1955. Exposition sur place.
Rue Saint-Jâmes (curieuses sculptures au n°26), architecture, maisons bourgeoises 14ème – 18ème siècles.